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Additif au projet "auto-école autrement"



Au moi de juin 2006, conscients de l’état du système formation/examen et des conséquences pour les Français qui souhaitent obtenir leur permis, mais aussi des difficultés des professionnels, nous avons lancé un projet de réforme que nous avons appelé « Auto-École Autrement ».

« Auto-École Autrement » a retenu immédiatement l’attention de tous les acteurs du système. Certains l’ont reçu positivement, d’autres y ont vu une atteinte à leur statut. Un débat s’est alors installé entre les différents acteurs.

Une proposition de loi a été rédigée par le député Jean-Paul GARRAUD, signée par une centaine de députés. Le nombre de signataires est exceptionnel pour une proposition de loi.

Nous avons écouté attentivement. Les critiques, positives ou négatives, nous ont amené à apporter des modifications, des éclaircissements à notre projet. La troisième directive européenne nous amène, elle aussi, à clarifier notre projet.

Nous présentons, ici, un additif au projet « Auto-École Autrement ».

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Les news



"Pour ceux à qui la privatisation fait peur"
Projet établissement EPIC-EPA
Compte rendu de l'entretien à Matignon du 04 juillet 2007
Le compte rendu
Special Mise au point

Les 17 et 18 novembre 2007, l'UNIC tiendra son congrès au « centre de port royal » dans les Yvelines.

Info Spéciale UNIC
La lettre du Candidat Nicolas Sarkozy
La Lettre


L'auto-école autrement...



Il y a trois ans, notre profession avait un rêve.

Un rêve de changement, un rêve de liberté,
Aujourd’hui, ce rêve doit devenir une réalité…

Le projet « AUTO-ECOLE AUTREMENT » doit permettre de résoudre les problèmes, que nous connaissons.

Nous vous proposons de prendre connaissance du projet de refonte de notre profession.

Ce Projet a été :
  • présenté au CSECAOP du 04 juillet,
  • Envoyé à différents Ministères dans la semaine qui a suivi.

Nous avons été reçus par les ministères suivants :



Les quatre ministères sont très intéressés par le projet , ainsi ils sont prêts, si la profession le veut, à mettre en place le projet « auto-école autrement ».


C’est à vous de leur démontrer, par votre soutien, que ce projet doit être mis en place.


Par vos soutiens nombreux, notre profession pourra entrer dans une nouvelle ère, une ère de modernité ou chacun de vous sera reconnu pour son travail, pour son sérieux, à vous, de faire entrer l’enseignement de la conduite dans la France de demain, dans la France de la modernité, dans la France d’après.


Nous sommes soutenus par :
  • Le cabinet de M. le Ministre d'Etat, Nicolas SARKOZY
  • Le cabinet de M. le Ministre des Transports, Dominique PERBEN
  • Le cabinet de M. le Ministre des Finances, Thierry BRETON
Et plusieurs députés influents exerçant de hautes fonctions dans notre pays.
Exploitants, enseignants salariés, IPCSR, tous ensembles changeons le visage de notre profession.

L’heure est venue de renverser la montagne…


La situation actuelle

Avec le baccalauréat, le permis de conduire représente, dans notre société, le rite initiatique de chaque personne en vue d'entrer dans la communauté adulte. Si plusieurs millions de français sont concernés par le permis de conduire, des dizaines de milliers sont chaque année confrontés à l'apprentissage de la conduite.

Le terme " confronter " ne peut être un hasard.

En effet, depuis plusieurs années, l'apprentissage de la conduite est devenu un véritable calvaire pour les jeunes français. " Merci Monsieur de m'avoir sauver la vie, sans vous j'y serai encore…et pour longtemps ".

Cette phrase, en signe de remerciement d'un élève à un directeur d'auto-école qui, a réussi son permis au 7e passage, après 75 heures de leçons et 3 auto-écoles, a pour auteur, un jeune homme de vingt ans, issu d'une classe sociale supérieure, réussissant tous ses examens (bac mention : très bien, et major de promotion durant tout son cursus universitaire).

Ce témoignage reflète toute la difficulté et le stress engendrés par l'apprentissage de la conduite pour un nombre non négligeable de jeunes.

Le coût de l'apprentissage de la conduite, les délais non raisonnables d'attente pour l'obtention d'une place d'examens, l'absence de reconnaissance sociale de la profession des enseignants de la conduite…Tout ceci donne naissance à un système invivable pour l'ensemble des acteurs.

LES ACTEURS

  • L'ETAT

    L'Etat a le monopole de l'organisation des examens. Il organise les sessions des examens ETG et pratique. En cela, il est producteur de places d'examens. En organisant les sessions, la machine étatique attribue aux établissements de conduite un nombre de places limitées.

    Or, l'attribution des places d'examen pose actuellement un grave problème, puisqu'il existe un déficit important entre le nombre de places attribuées et la demande réelle.

    Cependant, l'état actuel des finances publiques ne permet pas une augmentation des places d'examen. En effet, une telle hypothèse serait synonyme d'une augmentation du nombre d'examinateurs, or cela aurait un coût important.

    Il s'agit, donc, d'envisager un système alternatif, innovant et peu coûteux afin de pallier au problème du manque de places d'examens, ainsi qu'au manque d'examinateurs.

  • LES AUTO-ECOLES

    Acteur principal de l'apprentissage de la conduite, les auto-écoles sont juridiquement dénommées " Etablissements d'enseignement de la conduite ". Elaborée sur la forme de société de droit privé (le plus souvent SARL), elles peuvent être organisées sous une forme associative (les groupements).

    L'activité d'un établissement d'enseignement de la conduite varie suivant la taille de la société, le lieu du siège social (ville/campagne, Paris/Province), la population environnante (proximité d'un campus universitaire, nombres de sièges sociaux dans le périmètre d'activité…). La taille des auto-écoles est très variable. Cependant, l'immense majorité est composée de quelques salariés. A ce titre, il convient de sauvegarder ces petites structures puisqu'elles permettent un maillage du territoire ainsi qu'un rapport de proximité avec les élèves, contact essentiel à un bon apprentissage ainsi qu'au développement d'une relation de confiance entre l'établissement et l'élève.. Ainsi, un établissement ne peut être spécialisé que dans la formation du permis B mais aussi allier cette formation à une formation plus large : moto, bateau, camion, BSR…

    In fine, les établissements d'enseignement de la conduite sont très divers. Une politique globale sera, par conséquent, difficile à mener sur l'ensemble du territoire au regard de ces disparités. Dans un esprit rassembleur, l'arrêté du 18 juillet 1975 a institué le CSECAOP (Conseil supérieur de l'enseignement de la conduite automobile et de l'organisation de la profession). Il a pour compétence de régler les questions relatives aux domaines de l'enseignement de la conduite. Or, dans l'élan de la politique gouvernementale conduite depuis 2002, une nouvelle organisation du CSECAOP devrait voir le jour avec l'entrée dans cette instance des acteurs de prévention de la sécurité routière.

    Souffrant d'une non-reconnaissance tant économique que sociale (cf. Rapport Liebermann, Renover les relations entre l'Administration et les écoles de conduite : améliorer la qualité et l'efficacité de l'enseignement de la conduite, chapitre 2 " une meilleure reconnaissance économique et sociale des écoles de conduite "), les écoles de conduite subissent un nouvel affront avec l'entrée d'acteurs extérieurs à l'enseignement au sein du CSECAOP.

    Si dans un souci de concertation, ces différents acteurs sont essentiels au dialogue, il n'en demeure pas moins que les écoles de conduite doivent demeurer maître au sein de leur instance. C'est pourquoi, il convient de renforcer leur poids social : création d'un ordre professionnel doté d'une déontologie refonte de l'apprentissage de la conduite.

    Par ailleurs, il conviendra de trouver une solution à la délicate position des écoles de conduite faisant l'interface entre l'Etat et les candidats. L'Etat infidèle à ses missions fait passer les écoles de conduite pour des "vampires " suçant le compte en banque des candidats jusqu'à leur fin. Il s'agira, enfin, de doter la profession d'un véritable statut autonome. En effet, la profession d'enseignant de la conduite est régie par la convention collective des garagistes et des loueurs de voitures, ce qui au regard des missions réalisées demeure une absurdité.

    Au regard, de cette situation qui ne peut plus durer, nous proposons des solutions innovantes, peu coûteuses et attrayantes pour tous.
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